IV. DERNIÈRES CONVULSIONS AU FIL DES ARMES ET DES ÉLÉMENTS*****
Au cœur de l'action, la Bourguesinha, profitant d'un avantage pris sur l'Azur,
coupe ses grappins et envoie une bordée sur la galionet qui n'y résiste pas... glou-gloups!
Mais la Caravela de armada n'est pas pour autant sortie d'affaire: son équipage encore tout affairé à regarder l'adversaire sombrer,
ne parvient pas à éviter la collision avec la Bonitinha, seul navire portugais encore intact!
Pendant ce temps, Flushigny et de nouveau parvenu à se remettre en position de faire tonner ses plus grosse pièces
sur l'Engenho,
toujours englué dans le lit du vent,
et dont les hommes commencent sérieusement à patauger dans les espars et autre débris de son gréement..
Mais Éole ne se laisse pas dompter si aisément,
et une nouvelle bourrasque vient encore à la rescousse du nau, décidément bien verni cet après midi!
La messe est dite pour Flushigny, mais bien qu'aux prises avec deux caravelles,
le Gwalarn de Brest continue d'opposer une résistance farouche...
Avant de succomber, non sans avoir occis le quartier maître de la Pipa
et le maître du Bulão...
Bien qu’exsangue la flottille portugaise à tenu bon,
et Flushigny, emporté sous le vent de son adversaire, n'est plus en mesure d'exploiter de bonifier un travail de sape
qui lui aura couter deux navires...
FIN